11 ans après la grève, la rancune de la Poste est tenace. Notre détermination à exiger la relaxe pour nos collègues postiers et camarades syndicalistes l’est tout autant. Nous appelons à être très nombreux et nombreuses à nous rassembler lors de l’audience au TGI de Paris le 12 juin prochain à 12 heures.
Faisons du 12 juin le procès de la répression patronale et d’État, l’occasion de ne plus subi et de faire bloc !