En Tunisie, Armatis licencie l’ensemble d’une nouvelle équipe syndicale.

Alors que les cas de représsion se multiplient à travers la planète, que ce soit en Grèce avec Teleperformance, ou en Turquie avec Telus, c’est au tour de la Tunisie de voir une société de centres d’appels interdire toute expression syndicale en son sein.

La multinationale française, Armatis, spécialiste français de centre d’appels, a fait le choix d’interdire l’accès à son site à l’ensemble du nouveau bureau syndical de nos camarades du syndicat de l’UGTT (Union Générale Tunisienne du Travail). Après plusieurs années, sans présence syndicale, l’UGTT venait d’annoncer la veille à la direction d’Armatis la création d’une section et de désigner ses représentants. Immédiatement les camarades de l’UGTT, ont organisé la défense de leurs droits en saisissant les autorités et en préparant une mobilisation.

Armatis, est déjà connu par le cumul des affaires judiciaires en France, notamment sur des questions de plan sociaux déguisés,Armatis, est déjà connu par le cumul des affaires judiciaires en France, notamment sur des questions de plan sociaux déguisés,

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