Dans les centres d’appel sous-traitants de SFR, ensemble le 11 juin pour dire que nous ne sommes pas des kleenex !
Une fois de plus, et malgré les mises en garde de l’inspecteur du travail, la direction passe au dessus du droit fondamental des salariés.
Sur-sécurisation ou atteinte à la liberté ?!
Comme vous le savez depuis quelques semaines un conflit portant sur les jours fériés existe entre les syndicats (CGT et SUD) et la direction.
Le 28 mai, SUD vous convie à faire souffler un vent de fraicheur
Cessez vos offensives contre les salariés !
Les centres d’appel comptent une majorité de femmes, même si la crise tend à rééquilibrer le rapport numérique.
Le comité de groupe concerne l’ensemble des entreprises Armatis (Calais, Boulogne sur mer, Châteauroux, Nevers, Auxerre, Paris) et lc-france (Bordeaux, Poitiers, Tauxigny, Villeneuve d’Ascq et Roanne).
C’est l’histoire d’une salariée qui n’avait rien demandé à personne, qui bossait bien et surtout qui avait l’impression de pouvoir avoir encore le droit de respirer, se toucher les mains... au travail.
Les entreprises des centres d’appels se sont depuis longtemps internationalisées et ont pris l’habitude de ne plus penser avec des frontières, enfin sauf pour la fiscalité.