Une nouvelle GPEC à Orange

La GPEC est censée afficher l’évolution de nos emplois et de nos métiers en fonction de la stratégie choisie par l’entreprise.

On vit une époque formidable où une députée de la majorité peut se plaindre d’être contrainte de manger des pâtes avec seulement 5000€ par mois. L’indécence de la politique du gouvernement ne s’arrête pas au plat de nouilles de l’ancienne patronne devenue parlementaire.

Nos employeurs aimeraient sans doute soustraire à la GPEC leurs choix de stratégie industrielle dont dépend l’avenir des salarié-es. Ils doivent figurer dans la gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences qui demeure une obligation légale.

Dans la négociation de la GPEC entamée à Orange, Sud entend non seulement obtenir de la direction toutes les informations qui déterminent l’avenir de nos emplois et nos conditions de travail et notamment les gains de productivité qui accompagnent la numérisation de la société.

Dans ces négociations, Sud revendiquera une diminution du temps de travail et des obligations patronales pour garantir une évolution juste et solidaire de l’activité des salarié-es.

Notre tract ci-contre

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